Affaire Carpentier: Sur la piste des erreurs ?
par Louis Mc Donald Blanchet Photographie · février 25, 2023

Jeudi, ces conclu la 2e semaine de l’enquête publique sur l’affaire Carpentier du coroner Luc Maloin. Plus de 20 témoins sur une cinquantaine ont passés devant le coroner pour expliquer leur version des faits. Voici un court résumé;
Il reste donc environ deux semaine d’enquête sur les quatre prévue par la suite le coroner aura un long travail a effectuer avant le dépôt de sont rapport dans quelques mois. Ce rapport consistera a mieux comprendre ce qui ces produit et a émettre des recommandations.
Plusieurs points, ont retenue l’attention du coroner Maloin dont un grave problème de communication relaté par plusieurs témoins qui travail a la Sûreté du Québec comme policier, enquêteur ou autres. Ce problème de communication aurait-il nuit aux opération ? Cela fait partie des questions que le coroner devra se poser au fin de faire sont rapport. Un autre point dérange le coroner ces le fiat du refus d’aide de d’autre corp policier et dut service incendie de Saint-Apollinaire pourtant la SQ était victime d’un manque criant de main d’œuvre a ce moment pour faire les recherches.
D’autre problème attire sont attention dont le manque de formation de l’un des enquêteurs arriver en premier sur les lieux de l’accident.

Jeudi le chercheur du module de Mascouche André Bernard ex policier chercheur a la SQ a dit au coroner que les informations sur le nombres de personnes rechercher était vague lors de sont arriver:
C’était seulement une sortie de route et le chauffeur est parti dans le bois. Est-ce que c’est un délit de fuite? On ne sait pas, a-t-il témoigné au huitième jour des audiences de l’enquête publique du coroner sur la mort des jeunes filles.
André Bernard a également expliquer au coroner que le déplacement des recherche a plus de 7 km des dernières trace trouver était plus ou moins une bonne idée, car selon lui cela a été une perte de temps qui aurait put permettre un dénouement plus rapide.
Ce qui a suscité une réaction du coroner fut le nombre de personnes dépêcher sur les recherches qui variait d’un jours À l’autre et le refus d’avoir plus de bénévoles structurer de l’AQBRS ( Association québécoise des bénévoles en recherche et sauvetage ).
Les policier Paul Gosselin et Martin Bonneau appeler a la barre ont indiquer au coroner lorsque qu’il leur as demander si ils aurait eu besoin de plus de ressource qu’ils étaient dans l’ignorance que l’association avait offert plusieurs bénévoles et également ils ignorent qu’une personne a la SQ en as demander que 3 ou 4. Lorsque Luc Maloin leur a demandé s’ils étaient au courant de cela ils ont répondu:
Je tiens pour acquis que toutes les ressources disponibles avaient été demandées. Moi, ma priorité, c’était de fournir. J’étais réactif.[…] On a fait notre maximum, a ajouté le policier Bonneau, les larmes aux yeux.
C’est sûr qu’on en voulait plus. Moi, j’étais très occupé par mes tâches. Je ne peux pas vous dire, a répondu au procureur M. Gosselin.
Grâce a une demande d’accès a l’information nous avons obtenue un enregistrement audio qui stipule que l’association est en mesure de fournir environ 7 bénévoles, mais que seulement 4 seront nécessaire a la demande de la SQ. Deux personnes importante de l’Association Québécoise en Recherche et Sauvetage seront entendue prochainement et pourront expliquer leur version.
Le coroner a également de la difficulté a comprendre pourquoi que les personnes responsable des disparitions, enquêteurs et responsable au alerte Amber n’ont pas sut que il y avait 2 témoignages comme de quoi que Martin Carpentier était dépressif. Plusieurs policiers, ont apprit lors de l’enquête publique l’existence de ces deux rapports qui aurait été fort utile. Ce qui amène une autre question sans réponse pour le moment au coroner soit: est ce que l’alerte aurait put être mise en route plus vite ? Selon Me Maloin cela est anormal que des documents si importants n’est pas été transmis aux premiers responsables de l’enquête.
À aucun moment, les policier sur les lieux dont le maître chien Stéphane Ranger sont mit en garde que Martin est dépressif .

Je n’ai pas de profil. J’ai le profil d’un gars qui s’enfuit, il est avec ses enfants. Je ne sais pas pourquoi il s’enfuit avec ses enfants. Il a peut-être perdu la garde de ses enfants, il s’est peut-être tapé la tête dans le char. Je ne sais pas ce qui se passe dans sa tête, mais ce n’est pas ça mon ouvrage
Stéphane Ranger Maître-Chien
A la fin de cette 2e semaine le coroner se pose de nombreuses question qu’il espère trouver réponse.
Nous ferons un reportage lors de la fin de la 3e semaine et 1 dernier qui celui-ci sera très complet lors de la fin de l’enquête.
Selon, les informations obtenue lors des deux premières semaine d’audience et selon des informations obtenue grâce a l’accès a l’information.